Festival de Cannes : une édition #MeToo ?
Les deux cinéastes, Jacques Doillon et Benoît Jacquot, tout deux accusés par des actrices comme Judith Godrèche de violences sexuelles, ont été convoqués ce lundi 1er juillet pour un placement en garde à vue. Pour le monde du cinéma, cela pourrait être le début d'une prise de conscience des enjeux entourant les violences faites aux femmes, sept ans après la libération de la parole provoquée par le mouvement #MeToo.
Les deux cinéastes, Jacques Doillon et Benoît Jacquot, tout deux accusés par des actrices comme Judith Godrèche de violences sexuelles, ont été convoqués ce lundi 1er juillet pour un placement en garde à vue. Pour le monde du cinéma, cela pourrait être le début d'une prise de conscience des enjeux entourant les violences faites aux femmes, sept ans après la libération de la parole provoquée par le mouvement #MeToo.